Challah es un pan trenzado especial
que se consume en Shabat y en las festividades judías, excluyendo la fiesta de
Pésaj.
Shabat deriva del verbo
hebreo shavát. Aunque con frecuencia se traduce como
"descanso" o "descansar", otra traducción de estas palabras
es "cesar [de trabajar]". La palabra relacionada shevitaes un pan trenzado especial que se consume en Shabat y en
las festividades judías, excluyendo la fiesta de Pésaj.
Una de las 613 Mitzvot es
consumir en Shabat tres refecciones. Según la religión judía, la refección debe
contener pan, así es que al inicio de la refección, se bendice el jalá como al
pan, con la oración "hamotzi lechem min haaretz".
El significado original de la
palabra Jalá es un pequeño pedazo de masa. Tal porción, del tamaño de un huevo,
era dado a los cohanim en la época del Templo.
Para la receta de Challah
Amasar por 8 minutos reposar y
aumentar el aceite poco a poco para integrarlo
Hornear dos panes a 200 COr, selon la halakha (loi juive), un
"repas" doit contenir du pain, d'où la tradition de commencer le
repas par un morceau de pain. La bénédiction récitée avant de manger le pain, "Baroukh
ata Adonaï, Elokenou Melekh ha'olam, hamotzi lekhem min ha'aretz"
(Béni es-Tu, Seigneur notre Dieu, Roi du monde, qui fait sortir le pain de la
terre) est ici particulièrement appropriée, car la Halla du Shabbat symbolise
la Manne qui nourrit les
enfants d'Israël dans le désert : il en tombait double ration la veille de
shabbat, et rien durant le shabbat. Chaque tablée de shabbat est donc garnie de
deux pains le vendredi soir, qu'on consomme au cours de la journée.
Le terme Hallah
fait originellement référence à la première portion de la pâte, de la
taille d'un œuf, qu'il faut prélever du pain (ou de la matza). À l'époque du Temple, cette part
revenait au Cohen,
qui en tirait sa subsistance. La Halla était donc, comme la Terouma, l'un des
aliments sanctifiés (kodashim), que ne pouvaient manger que des prêtres
en état de pureté rituelle, et les gens de leur maison.
Le Temple n'étant plus en service
de nos jours, cette partie prélevée est jetée au feu. La mitzva a donc donné
son nom au pain par glissement de sens.
Une bénédiction peut être dite ou
pas, en fonction de la quantité de pâte prélevée.