viernes, 19 de diciembre de 2014

Merry Christmas and Happy New Year 2015


 
Feliz Navidad Y Prometedor  2015
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Jouyeux Noel et Bonne Année  2015





domingo, 26 de octubre de 2014

Pan - Challah


Challah  es un pan trenzado especial que se consume en Shabat y en las festividades judías, excluyendo la fiesta de Pésaj.
Shabat deriva del verbo hebreo shavát. Aunque con frecuencia se traduce como "descanso" o "descansar", otra traducción de estas palabras es "cesar [de trabajar]". La palabra relacionada shevitaes un pan trenzado especial que se consume en Shabat y en las festividades judías, excluyendo la fiesta de Pésaj.
Una de las 613 Mitzvot es consumir en Shabat tres refecciones. Según la religión judía, la refección debe contener pan, así es que al inicio de la refección, se bendice el jalá como al pan, con la oración "hamotzi lechem min haaretz".

El significado original de la palabra Jalá es un pequeño pedazo de masa. Tal porción, del tamaño de un huevo, era dado a los cohanim en la época del Templo.

 Para la receta de Challah

Amasar por 8 minutos reposar y aumentar el aceite poco a poco para integrarlo
Hornear dos panes a 200 COr, selon la halakha (loi juive), un "repas" doit contenir du pain, d'où la tradition de commencer le repas par un morceau de pain. La bénédiction récitée avant de manger le pain, "Baroukh ata Adonaï, Elokenou Melekh ha'olam, hamotzi lekhem min ha'aretz" (Béni es-Tu, Seigneur notre Dieu, Roi du monde, qui fait sortir le pain de la terre) est ici particulièrement appropriée, car la Halla du Shabbat symbolise la Manne qui nourrit les enfants d'Israël dans le désert : il en tombait double ration la veille de shabbat, et rien durant le shabbat. Chaque tablée de shabbat est donc garnie de deux pains le vendredi soir, qu'on consomme au cours de la journée.
Le terme Hallah fait originellement référence à la première portion de la pâte, de la taille d'un œuf, qu'il faut prélever du pain (ou de la matza). À l'époque du Temple, cette part revenait au Cohen, qui en tirait sa subsistance. La Halla était donc, comme la Terouma, l'un des aliments sanctifiés (kodashim), que ne pouvaient manger que des prêtres en état de pureté rituelle, et les gens de leur maison.
Le Temple n'étant plus en service de nos jours, cette partie prélevée est jetée au feu. La mitzva a donc donné son nom au pain par glissement de sens.
Une bénédiction peut être dite ou pas, en fonction de la quantité de pâte prélevée.